Présentation du livre
C’est le début de la série, son socle en quelque sorte. On y découvre les personnages principaux.
Chris vient juste de terminer ses études d’archéologie et part en Égypte avec son mentor, le célèbre Michael Carter.
Michael et Chris, archéologues infatigables et chercheurs de vérité
C’est aussi la rencontre avec Pam, l’inséparable amie et confidente.
Enfin, nous faisons connaissance avec Amenophis, le chat, figure incontournable dans plusieurs aventures de Chris ;
J’ai voulu incarner en lui beaucoup de qualités de nos chers compagnons : tendresse, fidélité, mais aussi connexion télépathique, celle qui ne passe pas par des mots.
Le siamois Amenophis
Le contexte de ce premier roman se situe près de Louxor, au cœur d’une expédition archéologique.
C’est la vie d’une équipe, avec une collaboration internationale, thème qui reviendra dans mes prochains romans, où l’on s’enrichit à travers les différences des uns et des autres.
Les veillées sous le ciel égyptien, criblé d'étoiles.
La découverte d’un ancien temple, enfoui sous le sable depuis des millénaires, va déclencher une série d’événements tragiques : Sabotage, crime et enlèvement se succèdent.
L’atmosphère sur le site, si légère au départ, laisse place aux soupçons et à l’angoisse.
Chris devra mobiliser tout son courage pour découvrir la vérité et révéler ainsi les secrets du passé.
Bien sûr, ce premier livre, qui est le plus court de la série, appelle une suite, qui viendra sous la forme d’un séjour à Glastonbury, dans le sud de l’Angleterre.
Notes de l’autrice :
L’Égypte est fascinante et recèle encore bien des mystères inexpliqués. Cette civilisation a atteint un haut niveau de développement et d’harmonie, à certaines périodes de l’histoire.
Beaucoup de connaissances restent encore à découvrir.
J’ai souhaité dans ce premier roman évoquer le féminin sacré. Depuis des siècles, nous vivons sous l’influence du patriarcat religieux.
Les femmes se sont vues exclues des fonctions d’officiantes et on a mis sous silence leur rôle fondamental en tant qu’intermédiaire entre la terre et le ciel.
Or dans l'Égypte ancienne, les femmes occupaient une place centrale dans la spiritualité et les pratiques religieuses. Elles étaient considérées comme des intermédiaires puissantes entre le monde des hommes et le monde des dieux.
Isis, Hathor, entre autres, ont été des références incontournables du féminin sacré et de puissantes déités dont le culte a perduré bien au-delà des frontières de l'Égypte antique.
L'Empire romain a reconnu et intégré le culte de ces déesses, notamment celui d'Isis, dont la popularité a traversé les siècles et les cultures. Des temples dédiés à Isis ont été érigés dans de nombreuses villes romaines, telles que Rome, Pompéi, et Londinium (l'actuelle Londres), et ses mystères initiatiques ont attiré des adeptes de toutes les couches de la société romaine.
Hathor, quant à elle, a également trouvé une place dans le panthéon romain, souvent associée à la déesse Aphrodite, et vénérée pour ses aspects de fertilité, de joie et de musique.
Ainsi, le culte de ces déesses égyptiennes a contribué à l'enrichissement spirituel et culturel de l'Empire romain, laissant un héritage durable dans l'histoire religieuse.
Les femmes, à travers le culte de ces puissantes déesses, ont joué un rôle central dans le maintien des traditions sacrées et l'équilibre entre le ciel et la terre, perpétuant ainsi l'influence spirituelle de l'Égypte antique dans le monde romain et au-delà.
Représentation d'une fresque d'Hathor